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Ici, bande de bootleggers, vous allez pouvoir
vous télécharger des chansons toutes croches, des
jams collants, des démos démoniaques et Jean Passe.
Le but de cette section est de vous partager des épisodes
dignes d’écoute de nos pratiques et/ou séances
de studio alors ne tenez pas trop rigueur de nos performances mais
n’oubliez pas. Ah! ‘fallait qu’on vous dise: les
chansons à télécharger vont changer régulièrement,
parce que 1- on en a une trâllée et 2- on veut vous
revoir souvent. Donc, pour rester au courant des nouveautés,
pourquoi ne pas vous inscrire à notre sympathique liste d’envois
???
Bonne savouration! |
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LES EXTRAITS CI DESSOUS UTILLISENT DES FENÊTRES "POPUPS" |
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Voici notre toute dernière toune graffignée en novembre au tout nouveau Studio Mon Studio à Gould. Enregistrée en guise de maquette pour le prochain disque en une avant-midi avec le groupe « live », les voix et l’orgue rajoutées peu après, on entend en effet la spontanéité de la batterie de pacemaker, de la basse-pression, de la guitare-boyaux et de la voix-névrisme. Une bonne défoulation!
Issue de la session « Hors-d'œuvre », cette pièce instrumentable, c’est l’hommage de CHIENDENT aux grands du jazz tels que Johnny Parker, Miles Beavis, Wayne Shortening, Django Bédard et Jean Passe. À prendre probablement avec une poche de calcium, un verre dans l’nez pis des gants bruns… On peut également considérer cette intrusion dans le domaine de la musique intelligente comme un extrait de la symphonie « Gros Morneau » parfois exécutée en spectacle par CHIENDENT.
Chansonnette ressortie des boulamites pour le plus grand plaisir d’une certaine Juju. Ça date de Tsé Veux Dire et ça a été enregistré à Rimouski par notre grand chum Jean-Pierre Pineault dans son studio Héri-Son. Veuillez noter qu’il restait encore des rimes en « or » de lousse mais la toune aurait été trop longue. C’est un inédit parce que le démo Tsé Veux Dire n’a pas subi de second pressage compte tenu de la censure inhérente au contenu dudit disque qui s’avère relativement « beginner » et jammé dans une marre de flanger et parce qu’on la joue plus pantoutte en show à part quand Juju se fait trop insistante – on t’aime Juju!
Édition d’un jam enregistré
chez Nat en fin d’après-midi. C’est notre manière
de s’astiner quand on pratique. La version originale doit
bin durer dix minutes. Juste assez longtemps pour oublier pourquoi
on s’astinait finalement… Impro de fin d’soirée chez Jo, dans son mini salon déjà investi par une truie, un vieux piano à trente sous et un divan brun. On était écrapoutis entre la batterie pis le Leslie sans oublier les odeurs de tsourdebras pis les manches de guitorches. Jo, emporté par l’esprit du punk qui berça son adolescence, modifia la vitesse d’enregistrement de la première partie du jam avec le petit piton «pitch» de son 4-track mais le ramena à la normale au moment judicieux de la transition vers le boutte plus mollo. Pour les oreilles crédules, ça aurait pu avoir l’air de 4 musiciens qui se ré-accordent en même temps et dans le beat qui plus est mais non – c’est juste Jo qui taponne sur sa bébelle.
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